Quand l’ignorance des pourvoyeurs de pensées erronées et incomplètes corrompent le peu d’esprit critique restant dans l’âme humaine ou qu’est-ce que c’est finalement le great reset et le nouvel ordre mondial.

Mes commentaires sont encadrés en blanc ou couleur, c’est selon.

Maurice Strong et les racines du programme « Great Reset »

Par Matthew Ehret − 25 novembre 2020 − Source Strategic Culture

Qui est  Matthew Ehret, il fait quoi ? Suffit de voir le nombre de livres qu'il vend sur Amazon, déjà il y a une activité qui est directement proportionnelle au buzz qu'il génère, c'est un libéral, c'est un écrivain.

https://www.amazon.fr/Matthew-J.L.-Ehret/e/B07M724HCR%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_share
Le concept de culture stratégique est devenu largement utilisé dans le domaine des relations internationales, principalement dans le contexte des efforts visant à expliquer les comportements stratégiques distinctifs des États en faisant référence à leurs propriétés stratégiques uniques. 

Selon des sommités du Great Reset [Grande réinitialisation] telles que Bill Gates, le Prince Charles, Michael Bloomberg, Mark Carney et Klaus Schwab du Forum économique mondial, l’humanité devrait résoudre la double menace de la COVID et du réchauffement climatique grâce à une seule réforme révolutionnaire de grande envergure.

On nous a dit, à nous plébéiens, que tout ce que nous avons à faire pour relancer l’économie, c’est de réadapter notre comportement, nos valeurs, nos finances et notre éthique afin de décarboner la civilisation dans le cadre d’un nouveau régime mondial de banques centrales et de nouvelles monnaies numériques vertes, comme l’a souligné le sommet « Horizon vert » du Forum économique mondial (WEF) des 9 et 10 novembre 2020. C’est lors de cet événement que l’orateur principal, Mark Carney, annonçait que ce changement représente « la plus grande opportunité commerciale de notre temps ».

Dans le cadre de cette réforme mondiale, on nous dit que le système financier doit être réorganisé pour financer les fermes éoliennes, les biocarburants et les panneaux solaires en utilisant des obligations vertes, des indices financiers verts et des monnaies numériques vertes. Le fait que ces sources d’énergie non seulement augmentent les coûts de l’électricité tout en réduisant de façon abyssale les capacités de production des nations ne semble déranger aucun de ces apparents génies du capitalisme qui vantent les vertus d’un ordre écologique post-COVID.

Ce qui est vrai, mais, bon je vais être concis et trash pour être compris par tous. Par an, en France, 500 bac-3 pour visser des panneaux solaires chinois bossant pour RTE/EDF ca coute moins cher et ça produit en pointe plus qu'un réacteur nucléaire qu'on met 5 ans construire avec des ingénieurs à la pelle que l'on a plus car les malins ont tous fuit ce pays de merde.  Oui on baisse du piloté pour du non piloté, oui on produit moins, oui en hiver ça va être marrant, oui c'est plus cher, mais on fait avec ce qu'on a. Voir indicateur 2021 section électricité pour le détail

Il faut donc se poser cette question : Si l’argent est le moteur du capitalisme, pourquoi des milliers de milliards ont-ils été dépensés au cours des dernières décennies pour financer des activités « vertes » qui sapent intrinsèquement la base de la création de capital (c’est-à-dire les infrastructures et la production industrielle) ? Pourquoi l’« Occident capitaliste » s’est-il détruit lui-même au cours des dernières décennies ? Et pourquoi ceux qui gèrent l’ordre unipolaire voudraient-ils accélérer cette autodestruction sur la base d’un « Great Reset » ? Est-ce de la folie ou quelque chose de plus insidieux ?

- putain ca va me prendre la journée cette connerie...
 
lire la fin de cette page avec attention. Si c'était détruit, ça ne fonctionnerait, plus. Vous sortez, la route est bombardée ? Non.  La boulangère vous chasse au AK47 de la boutique ? Non. Vous travaillez ? Oui. Vous touchez le salaire ? Oui. C'est détruit ? ba non...

La réponse au début de paragraphe, si on le fait plus c'est le rendement. Aussi simple que ça. pourquoi se faire chier à gagner 100 via une entreprise qui fait du concret quand on peut  via un écran gagner 500 en une matinée...

Les milliards pour le vert c'est un énième détournement du capitalisme de voler le fric pour s'en mettre plein les poches, ça ne diffère en rien d'Apple qui fait un écran sur un téléphone en 2006 et le dit indispensable et 15 ans plus tard  y plus de téléphones que d'êtres humains en circulation. Si ça vous intéresse c'est bien, ça va dans votre sens, si c'est contre votre intérêt c'est du vol. 

Cet auteur gagne du fric en décrivant le shift... il  a tout intérêt à faire du buzz sur le processus en cours... 

Mais Apple vous a quand même bien enculé avec les téléphones.

Les mecs qui bossent dans le secteur de l'énergie voulaient plus de rente, l'EROI n'est même plus à 10 aujourd'hui, le fossile ça rapporte plus rien, il faut donc d'autres secteurs, d'autres marchés, il faut créer une demande pour ensuite y répondre avec une offre.

C’est l'essence même du capitalisme libéral essoufflé. Cet auteur est un abruti fini. Mais c'est pas encore aussi simple que ça.

Depuis le flottement du dollar américain sur les marchés mondiaux, en 1971, et la création du Petrodollar en 1973, le monde a connu un effondrement constant des emplois productifs dans le secteur manufacturier, des investissements dans les infrastructures ; une planification à long terme d’un coté et une augmentation simultanée de la déréglementation, de la spéculation à court terme et des emplois précaire à bas salaires de l’autre. Au cours de ce processus de déclin post 1971, l’esclavage de la dette est devenu la norme, tant dans les pays développés que dans les pays en développement, tandis que la délocalisation de la production entraînait la castration de la souveraineté nationale et une dépendance toujours plus grande à l’égard de la « main-d’œuvre bon marché » et des « ressources bon marché » provenant de l’étranger.

1) l'économie de service post industrie C'EST la délocalisation. 
2) Une attitude de consommation non encouragée par une population ne verrait pas un développement de livraison par drone...
3) le meilleur c'est AMAZON...

je continue ou c'est bon ?

Certains ont qualifié cet effondrement d’« échec de la mondialisation ». Dennis Small, rédacteur en chef de l’Executive Intelligence Review pour l’Amérique latine, a déclaré à plusieurs reprises, au cours de nombreuses années, que cette caractérisation était fausse. La mondialisation devrait plutôt être considérée comme une réussite complète – en ce sens que lorsqu’on l’envisage dans une certaine perspective 🙂 il devient de plus en plus évident que les architectes de cette politique ont réalisé exactement ce qu’ils avaient prévu de faire. Cette intention était d’imposer un paradigme artificiel de jeu à somme nulle/fermé à une espèce dont la caractéristique distinctive est sa raison créatrice et la capacité de se perfectionner constamment, tant sur la terre que dans l’espace.

Bien entendu, et c'est nécessaire, sinon on ne peut pas sortir de la linéarité du rapport énergie/croissance via l'argent pour continuer quand l'économie classique atteint ses limites. On appelle ça le découplage. Ce qui autrement en respectant les principes fondamentaux économiques, est impossible.

Qui est Maurice Strong ?

Dans mon dernier article « Lord Malloch Brown exposé … », j’examinais deux personnages de haut niveau de l’empire, gérant la destruction des États-Unis : Lord Mark Malloch Brown et George Soros. Dans cet essai, j’aimerais prendre le temps d’enquêter sur un troisième personnage dont la mort en 2015 l’a peut-être empêché de participer au coup d’État actuel, mais dont l’œuvre de toute une vie continue d’animer les événements mondiaux plus profondément que vous ne l’imaginez.

Bien qu’il soit mort en 2015, la vie et l’héritage de Strong offrent au lecteur moderne un aperçu puissant, bien que laid, des méthodes et des actions du programme de l’État britannique profond qui a si mal façonné l’histoire du monde pendant la seconde moitié du 20e siècle.

Britanniques... je vous l'ai dit, il n’y a pas pire qu'un anglo-saxon, faut les flinguer ces enculés. Renseignez-vous sur le fonctionnement interne du quartier de la city à londres, c'est surréaliste.

Alors que les recherches impeccables de l’historienne Elaine Dewar (auteur de Cloak of Green publié en 1995) ont mis en évidence le rôle de Strong en tant que recrue de Rockefeller dans les années 1950, en tant que baron du pétrole, vice-président de la Power Corporation by 30, dirigeant du Parti libéral, conseiller privé et fondateur de la politique néocoloniale d’aide extérieure du Canada envers l’Afrique, nous nous concentrerons ici sur le rôle que Strong a joué depuis 1968 dans la subversion du potentiel de développement du Canada et du monde en général. C’est grâce à ce rôle post-1968 que Strong est devenu le parrain du mouvement environnemental moderne, a créé l’Agence des Nations unies pour la protection de l’environnement (PNUE) et a travaillé en étroite collaboration avec Mark Malloch Brown, son conseiller spécial, et plus tard avec Soros, à la création d’un nouvel ordre mondial post-étatique.

Pour le nouvel ordre mondial, les racines véritables, cocorico c'est Jean-Jacques rousseau qui lance l'idée. En 1762. Après ça dévie dans le tumulte de l'utopie sociale, qui elle, est présente depuis le concept de l'age d'or qui remonte au-delà de Confucius. Les modifications de la société en occident pendant les conflits post révolution française vont faire se rapprocher les socialistes surtout anglais et commencer à réfléchir à la manière de conceptualiser le monde. Cet élan va se faire avec le développement du rail, qui va effectivement vraiment foutre le bordel dans les rouages du monde. 

Les formes abouties avec des propositions franches apparaissent vers 1870 quand Marx a été digéré et que les premiers symptômes de dégénérescence apparaissent, que certains malgré leurs pètes au casque comme Nietzsche dans des élans de lucidité remarquables mettront par écrit. 

C'est ainsi que prend naissance au XX des écrits comme HG WELLS, ORWELL, HUXLEY (allez lire ma fiche sur Brave New World)(sur les 3 d'ailleurs) et toute une littérature pendant qu'en même temps des gens comme Coudenhove prôneront des choses du genre "plus de nation on mélange tout et on uniformise tout".

Remis dans le contexte, il y a du sens et une nécessité d'homogénéité. Dans la pratique ça coince sur l'aspect identitaire endémique des peuples, ce que je cautionne, défend avec acharnement, je ne suis ni belge, ni suisse, ni australien et surtout pas africain.

L'élan inertiel du N.W.O ou N.O.M en français est à manier avec précaution. Ce que personne ne fait évidement. Dans les faits et le pur pragmatisme, c'est une volonté proche d'un socialisme libéral, chose déjà en place depuis les années 80. 
Mais plus poussé, car le socialisme veut le contrôle absolu et tout régenter sans forcément comprendre tout ce qu'il fait.

Ce qui explique pourquoi L'union européenne  fait des textes avec des gens payés 9000€ brut  pour parler de la taille des bananes: réglementation n°2257/94 ou des types de chasse d'eau réglementation n° 66/2010...

Strong et les racines du Great Reset

En 1992, Maurice Strong a été chargé de diriger le deuxième Sommet de la Terre (le premier ayant été la Conférence de Stockholm sur l’environnement humain de 1972, également présidée par Strong).

Le Sommet de Rio avait ouvert une nouvelle ère dans la consolidation des ONG et des entreprises sous l’égide d’un programme vert génocidaire de famine contrôlée se dissimulant derrière le dogme de la « durabilité ».

bin, oui, comme le climat pour consommer moins d'énergie....

Cette doctrine a été officialisée par l’Agenda 21 et la Charte de la Terre, cosignés par Mikhaïl Gorbatchev, Jim MacNeill et Strong dans les années 1990. À l’ouverture du sommet de Rio, Strong annonçait que les pays industrialisés avaient « développé et bénéficié des modes de production et de consommation non durables qui sont à l’origine de notre dilemme actuelIl est clair que les modes de vie et de consommation actuels de la classe moyenne aisée, impliquant une consommation élevée de viande, la consommation de grandes quantités de produits surgelés et d’aliments prêts à l’emploi, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, de la climatisation à la maison et au travail et de logements de banlieue, ne sont pas durables. Un changement est nécessaire vers des modes de vie moins axés sur des modèles de consommation nuisibles à l’environnement ».

bin oui... ils le disent. C'est vous, la masse qui n'avez connu que la richesse de votre mode de vie depuis le milieu XXe qui gueulez parce qu'on va vous changer les mœurs et rétrécir la laisse, c'est vous qui gueulez... tout est cohérent pour le moment, le gilet jaune c'est quoi... y veut pas un champ pour planter, y veut de la thune pour les tatouages les voyages et l'iphone 17. 

Dans un essai de 1992 intitulé « De Stockholm à Rio : Un voyage à travers une génération », publié par la Conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement, Strong a écrit :

Le concept de souveraineté nationale a été un principe immuable, voire sacré, des relations internationales. C’est un principe qui ne cédera que lentement et avec réticence aux nouveaux impératifs de la coopération mondiale en matière d’environnement. Ce qu’il faut, c’est reconnaître la réalité que dans de nombreux domaines, et cela est particulièrement vrai pour les questions environnementales, il est tout simplement impossible que la souveraineté soit exercée unilatéralement par des États-nations individuels, aussi puissants soient-ils. La communauté mondiale doit être assurée de la sécurité environnementale.

Pour reprendre mon exemple, on ne va pas tuer les 5 pour garder les 5 autres à table, on va tous, les 10, manger moins. Ça en fait chier pas mal, il n’y a pas de gagnant dans l'histoire. Nature humaine faisant ça sera trafiqué comme tout le reste. Mais le propos est bon tout de même.

Deux ans plus tôt, Strong avait accordé une interview dans laquelle il décrivait un « livre de fiction » qu’il fantasmait d’écrire et qu’il décrivait de la manière suivante :

Et si un petit groupe de dirigeants mondiaux devait conclure que le principal risque pour la Terre provient des actions des pays riches ? Et si le monde doit survivre, ces pays riches devraient signer un accord réduisant leur impact sur l’environnement. Le feront-ils ? La conclusion du groupe serait « non ». Les pays riches ne le feront pas. Ils ne changeront pas. Donc, pour sauver la planète, le groupe décide : Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité d’y parvenir ?

Lorsque cette affirmation est tenue en parallèle avec la vie particulière de cet homme, on s’aperçoit rapidement que la barrière entre la réalité et la fiction est plus que floue.

Je suis d'accord. Le non-dit c'est qu'on effondre globalement avec des éléments de préservés ici et là pour le luxe et le mode de vie aisé n'est plus possible que pour une petite minorité. Ceux qui écrivent ça comme je l'ai écrit dans le post d'avant, le malthusien il flingue le groupe d'en face, pas celui ou il se trouve, il n’est pas demeuré. C’est du bon sens. Le monde entier ne peut pas vivre à l'américaine.

La destruction de l’énergie nucléaire

Il est essentiel d’examiner le rôle de Strong dans la paralysie du Canada à utiliser son potentiel d’énergie nucléaire, l’un des plus grands phares d’espoir que l’humanité ait jamais eu pour sortir des limites fixées actuellement au développement de l’humanité. En effet, l’utilisation contrôlée de l’atome, ainsi que la nécessaire découverte de nouveaux principes universels associés à cette entreprise, ont toujours représenté l’une des plus grandes menaces stratégiques pour le système oligarchique, qui dépend d’un système fermé de ressources fixes afin de gérer les populations actuelles et de justifier la gouvernance mondiale dans des cadres logiques « objectifs ».

Encore une fois je renvois si ce n'est toujours pas lu à ce long texte, qui commence sur la plaisanterie avant de développer un raisonnement et finir par expliquer la situation de ce qu'est ma théorie de l'hypervélocité, qui  désintègre la civilisation dans une saturation. 

La limite de pensée d'un type comme marx disait en gros :monarchie ->révolution -> bourgeoisie -> révolution -> prolétariat -> socialisme intégral. 

il n'a pas vu à la hauteur de son temps quand il écrit le capital en 1848 avec Engels les dégats de l'ouverture au peuple d'un mode de vie équivalent au roi. 

Et c'est tout le problème du socialisme dans la prise de connaissance de la situation depuis les années 60, la découverte de la surpopulation, avant que ça ne dérive sur l'écologie dans les années 70. 

Tout est lié avec l'économie et l'énergie. Les types ont vu l'iceberg arriver.

Les processus de fission et de fusion existent à un niveau bien supérieur à ces paramètres fixes qui supposent que la « capacité de charge » de la terre n’est pas supérieure aux 2 milliards d’âmes envisagées par l’oligarchie actuelle centrée sur Londres.

Le nucléaire ne délivre que 5% de l'énergie mondiale c'est ridicule. L’auteur est canadien... le mec à la haine... y comprend pas les enjeux.

Si l’humanité devait reconnaître son potentiel créatif unique pour transcender continuellement ses limites en découvrant et en créant de nouvelles ressources, aucun empire ne pourrait exister longtemps.

On ne crée pas de ressource. On ne génère pas de matière avec du vide. Il faut sortir de cette ignorance crasse. 

Et non, le messianisme technologique ne fonctionne pas quand on est au bout du bout.

La ressource on l'a dès le départ et c'est l'énergie à disposition, accumulée dans le sol au fil du temps de différentes manières. La terre est un système complexe avec une durée de fonctionnement dans une échelle de considération donnée qui permet de développer et maintenir du vivant tel que nous en sommes membre dans une chaine donnée. 

Si on recule le zoom on a le soleil et ainsi de suite à des échelles où l'insignifiance est encore un signe d'honneur et de considération qui n'a d'égal que notre orgueil.

Un arbre ne pousse pas à partir de rien. 
L'humain est la seule espèce au monde à faire disparaitre des ressources renouvelables.®
Tant que j'y suis, je veux bien éduquer et expliquer aux gens, mais le premier con qui me  parle des georgia guidestones je le ban du blog.  Je n’enseigne pas aux trisomiques, c'est une perte de temps. Allez sur fawkes news pour vous endommager le cerveau.

Le Canada étant la deuxième nation au monde à avoir développé l’énergie nucléaire civile et une culture scientifique de pointe en physique, en aérospatiale et en chimie, la nécessité de détruire ce potentiel dans l’esprit de l’État profond britannique du Canada était vraiment grande. Pour avoir une meilleure idée du rôle que Strong a joué dans la destruction de la politique scientifique canadienne, nous devons en fait revenir au règne de Strong au Bureau de l’aide extérieure, en 1966.

Il a la haine contre l'angleterre le petit canadien on dirait, hihi

Apartheid technologique pour l’Afrique

L’une des principales raisons pour lesquelles Strong avait été recruté dans la fonction publique canadienne pour diriger le Bureau de l’aide extérieure en 1966 était de saboter les efforts internationaux que des scientifiques et des hommes d’État de premier plan avaient déployés pour faire du Canada un exportateur de ses premiers réacteurs CANDU. Depuis 1955, les principaux patriotes au sein d’Énergie atomique du Canada (EACL) et du Conseil national de la recherche, comme C.D. Howe et son collaborateur C.W. Mackenzie, ont veillé à ce que l’exportation de la technologie nucléaire avancée soit mise à la disposition des pays en développement tels que l’Inde et le Pakistan. Au Canada, cette politique a été vigoureusement défendue par le premier ministre John Diefenbaker, qui considérait également l’énergie atomique comme une clé de la paix mondiale.

Les bannières sous lesquelles ce transfert de technologie avancée ont été effectué étaient à la fois le Plan Columbo et les Atomes pour la paix du Président Dwight Eisenhower. Cette approche progressiste du développement international définissait l’« aide extérieure » non pas en fonction des conditionnalités du FMI, ou simplement de l’argent en soi, mais plutôt comme le transfert des sciences et des technologies les plus avancées vers les pays pauvres dans l’intention explicite que toutes les nations atteignent une véritable souveraineté.

Un caribou socialiste, j'aurai tout vu.

C’est le modèle que la Chine a adopté aujourd’hui dans le cadre de son initiative « Nouvelles Routes de la soie ».

Non c'est inexact, la route de la soie c'est de recréer les routes commerciales de l'empire qui vont jusqu'en europe par les terres pour éviter les problèmes actuels de passer par la mer en bateau puisque les points de passages sont contrôlés et peuvent faire office de blocus, comme Suez. 

Originellement c'est l'inverse, la route de la soie a cessé parce que les conflits terrestres empêchaient les caravanes d'arriver sans se faire attaquer.

Redévelopper le rail pour le pondéral, lente vitesse, est la chose la moins chère énergétiquement parlant pour maintenir un commerce de masse. Quand le lien vidéo montre que cela développe l'Afrique, c'est une erreur, la chine recolonise l'Afrique et ce bien avant l'impulsion de la nouvelle route, ça n'a rien à voir. Je l'ai vu et vécu pendant 10 ans dans les années 90.  La Chine avait déjà la main mise sur l'Afrique de l'Ouest alors que la route de la soie ne fait que longer la corne à l'est et ne rentre pas dans le sub-saharien. 

Lorsque Strong s’est mis au travail au Bureau de l’aide extérieure, et a ensuite créé l’Agence canadienne de développement international, la relation du Canada avec les « PMA » (pays moins avancés) s’est réduite à la promotion de « technologies appropriées » dans le cadre du monétarisme et d’une forme perverse d’analyse des systèmes. Après l’assassinat de JFK, une opération parallèle a été menée au sein de l’USAID américaine. Aucune technologie ou politique d’infrastructure avancée nécessaire à l’indépendance des anciennes colonies n’a été autorisée dans le cadre précurseur de ce que l’on a appelé plus tard la « durabilité » et la « croissance zéro ».

ba évidement ! il est con cet auteur !!! 
Les blacks réclament leur indépendance, ils l'obtiennent. On passe d'un contrôle du pays et des ressources à une relation commerciale, on ne va pas leur offrir gratuitement la technologie une fois qu'on s'est fait foutre dehors !!! Pour ça fallait rester à sa place et laisser le blanc développer le pays. 

Tu veux ta liberté ? ok,  démerde-toi mon gars... et oui ! Quand on retire la sécurité comme je le dis plus haut, ca couine ! tu veux une centrale,  une antenne de téléphone, tu payes... tu voulais une place à la table comme les grands, assume. 

Y sont tous aussi cons les canadiens ou c'est juste lui ?

Sous l’influence de Strong, le rôle du Canada a été perverti en incitant les PMA à obéir aux « conditionnalités » du FMI et de la Banque mondiale et à réformer leurs bureaucraties comme exigé par l’OCDE pour recevoir de l’argent. Tant au Canada que dans les pays en développement, Strong a été l’un des principaux agents ayant supervisé la mise en œuvre de la stratégie de l’OCDE d’« analyse des systèmes fermés » pour la gestion des politiques nationales.

Sous la direction de Strong, le Canadian Club of Rome a été fondé en 1970 sous la direction d’un groupe misanthrope de technocrates du Privy Council, dont Pierre Trudeau, qui a financé, par l’intermédiaire des contribuables, la tristement célèbre étude du MIT, rendue publique en 1972 sous le titre « Limites de la croissance ». L’homme de pointe du Club de Rome, Sir Alexander King, a plus tard décrit les réalisations du groupe en 1990 en disant :

En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous en sommes arrivés à l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres problèmes du même genre feraient l’affaire…. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine, et ce n’est qu’en changeant les attitudes et les comportements qu’on peut les surmonter. Le véritable ennemi est donc devenu l’humanité elle-même.

HOP HOP HOP !!! Le texte est modifié. Et interprété et biaisé, et comme tous les connards de merde qui font CTRL C CTRL V  avec leurs crânes vides sans aller chercher le livre et la référence pour vérifier et ba on se retrouve avec 4 milliards intégraux de débiles la bave aux commissures des lèvres reliés à facebook par un câble qui justifie le propos malthusien initial car vous n'êtes pas aptes à vivre dans le monde dans lequel vous vivez. Vous êtes trop cons, vous ne comprenez rien à rien, vous êtes des bœufs. 

Celui qui traite les gens de moutons est celui qui hait totalement sa condition humaine car au fond de lui il en a conscience de sa vie de merde bien rangée et il se dégoute, mais il s'en dédouane en accusant et insultant les autres. 

je sais que je ne suis rien, j'insulte les autres parce que ce sont des comportements de crétins arrogants décérébrés. 
cet extrait déformé vient de ce livre :
et on peut lire ce chapitre dans le contexte de la page 110 à 115 avant  paragraphe truqué par l'article : chui trop bon avec vous en dessous c'est en français.

The Limits of Democracy

The Limits of Democracy Democracy is not a panacea. It cannot organise everything and it is unaware of its own limits. These facts must be faced squarely, sacrilegious though this may sound. As now practiced, democracy is no longer well suited for the tasks ahead. The complexity and the technical nature of many of today’s problems do not always allow elected representatives to make competent decisions at the right time. Few politicians in office are sufficiently aware of the global nature of the problems in front of them and have little if any awareness of the interactions between the problems. Generally speaking, informed discussion on the main political, economic and social issues takes place on radio and television rather than in Parliament to the detriment of the latter. Political party activities are so intensely focused on election deadlines and party rivalries that they end up weakening the democracy they are supposed to serve. This confrontational approach gives an impression that party needs come before national interest. Strategies and tactics seem more important than do objectives and often a constituency is neglected as soon as it is conquered. With the current mode of operation, Western democracies are seeing their formal role decline and public opinion drifting away from elected repiesentatives. However, the crisis in the contemporary democratic system must not be allowed to serve as an excuse for rejecting democracy as such. In the countries now opening up to freedom, democracy is being introduced in a situation which demands of the citizens greatly changed attitudes and patterns of behaviour. The inevitable problems of phasing in democracy are difficult. But there is an other, still more serious question. Democracy does not necessarily build the bridge between a colonial or neocolonial economy, or a centralized bureaucratic economy towards a market economy based on competition and producing growth. In a transitional situation such as the present, which, because of sudden and unforeseen change, has been neither planned nor prepared for, the necessary structures, attitudes, market relations and managerial styles simply do not exist. If such a situation is allowed to go on too long, it is probable that democracy will be made to seem responsible for the lagging economy, the scarcities and uncertainties. The very concept of democracy could then be brought into question and allow for the seizure of power by extremists of one brand or the other. Winston Churchill was right when he quipped, “Democracy is the worst of all systems, except for the rest.” Yet we must be aware of its erosion, its fragility and its limitations. When persons say that “the things that have to be done to improve our situation are perfectly obvious,” they seldom ask “Why aren’t they done then?” And if they do, they answer, “because we lack the (political) will or because of habits, or shortsightedness, or politics, etc., etc.” Our inability to indicate how to overcome these sources of inertia and resistance makes it clear that what should be done is not obvious at all. We over look (psychologically speaking, we deny) our ignorance and instead say, “All we lack is the political will” The crucial need is to revitalize democracy and give it a breadth of perspective that will enable it to cope with the evolving global situation. In other words, is this new world we find ourselves in governable? The answer is: probably not with the existing structures and attitudes. Have we gathered the necessary means and wisdom to make decisions on the scale of the world problematique, taking into account he exigencies of time? There is an increasingly evident contradiction between the urgency of making some decisions and the democratic procedure founded on various dialogues such as parliamentary debate, public debate and negotiations with trade unions or professional organisations. The obvious advantage of this procedure is its achievement of consensus; its disadvantage lies in the time it takes, especially at the international level. For indeed the difficulty is not only in the making of decisions, but also in their implementation and evaluation. Time in these matters has acquired a deep ethical content. The costs of delay are monstrous in terms of human life and hardship as well as of resources. The slowness of decision in a democratic system is particularly damaging at the international level. When dictators attack and international policing is required, delays of decisions can be fatal. The problem then is to invent instruments of governance capable of mastering change without violence and of maintaining a quality of peace which encourages rather than inhibits a state of security, fairness and fulfilling growth for individuals and societies alike. Not only have we to find better means of governance at national and international levels, but we have also to determine the characteristics of a capacity to govern. Global “governance,” in our vocabulary, does not imply a global “government,” but rather the institutions of cooperation, coordination and common action between durable sovereign states. The good, and for our purposes, encouraging news is that: – people and nations are beginning to agree to take “next steps” together (however, they are carefully avoiding to agree on why they are agreeing); – this seems to be happening by practical consensus procedures rather than by the formal voting of instructed governmental representatives; – many international functions, especially those requiring the most foresight and operational flexibility, can be carried out through non-governmental arrangements; – in many fields governments have already come to realize that effective deployment of their most cherished right, their sovereignty, requires that it be pooled with the sovereignty of other nations, in order to do things that none of them can do alone. In this sense, co-operation does not mean relinquishing sovereignty, but rather exerting it through joint action, instead of losing it or just not using it. Whether on the international scale, at the national level or that of the corporation, the problem of governance presents itself in new terms. The growing complexity of the world and of its problems makes it necessary to have a complete grasp on tremendous amounts of informat on before coming to a decision. This immediately calls to account the quality of information, for it is under constant danger of rapid obsolescence, possible inaccuracy or outright propaganda. A second impediment to governance is caused by the increasing size and inertia of large bureaucracies that spread their tentacles around the centres of power and slow down or paralyze both decision making and implementation. Other crucial impediments consist of the lack of education for competent citizenship and inadequate intergenerational understanding Yet another difficulty arises from the importance of economy within the administration and its sectoral structures. If the different power centres do not learn to co-operate and instead insist on acting in ignorance or in opposition to one another, the resulting administrative sluggishness can provoke delays that can lead to inefficiency, wrong decisions and confrontation. So far, governance has operated by treating problems separately and in a vertical mode. Today the interaction between problems is such that no single issue can even be approached, to say nothing of resolved, outside of the framework of the problematique. This in turn demands leaders of a new kind, capable of treating problems both horizontally and vertically. In the world that is emerging, decision making can no longer be the monopoly of governments and their departments, working in, yes, a vacuum. There is need to bring many partners into the process, business and industry, research institutions, scientists, NGOs and private organisations, so that the widest available experience and skill is available. And, of course, an enlightened public support, aware of the new needs and of the possible consequences would be essential. A dynamic world needs an effective nervous system at the grass-roots level, not only to ensure the widest range of inputs, but to make possible the identification of all citizens with the common process of governance. In the present, vacuous situation, lack of identification of people with the processes of society is expressed as indifference, skepticism or outright rejection of governments and political parties, seen as having little control over the problems of our times. These attitudes are indicated by a decreasing rate of participation in elections.

ce qui donne ça en français :
Les limites de la démocratie

La démocratie n'est pas une panacée. Elle ne peut pas tout organiser et elle ignore ses propres limites.
Ces faits doivent être affrontés sans détours, aussi sacrilèges que cela puisse sembler. Telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui, la démocratie n'est plus adaptée aux tâches qui l'attendent. La complexité et la technicité de nombreux problèmes actuels ne permet pas toujours aux élus de prendre des décisions compétentes au bon moment. Peu d'hommes politiques en place sont suffisamment conscients du caractère mondial des problèmes auxquels ils sont confrontés et ont peu ou pas de conscience des interactions entre les problèmes.

D'une manière générale, une discussion éclairée sur les principaux enjeux politiques, économiques et sociaux a lieu le
à la radio et à la télévision plutôt qu'au Parlement au détriment de ce dernier. Les activités des partis politiques sont si intensément concentrés sur les échéances électorales et les rivalités partisanes qui finissent par affaiblir la démocratie ils sont censés servir. Cette approche conflictuelle donne l'impression que les besoins des partis passent avant l'intérêt national. Les stratégies et les tactiques semblent plus importantes que les objectifs et souvent une circonscription est négligé dès qu'il est conquis. 

Avec le mode de fonctionnement actuel, les démocraties occidentales voient leur rôle formel décliner et l'opinion publique s'éloigner des élus.

Cependant, la crise du système démocratique contemporain ne doit pas servir d'excuse pour rejeter la démocratie en tant que telle.

Dans les pays qui s'ouvrent désormais à la liberté, la démocratie s'instaure dans une situation qui demande à des citoyens de considérablement modifier les attitudes et les comportements. Les inévitables problèmes d'instauration progressive de la démocratie sont difficiles. Mais il y a une autre question, plus grave encore. 

La démocratie fait pas nécessairement construire le pont entre une économie coloniale ou néocoloniale, ou une bureaucratie centralisée vers une économie de marché fondée sur la concurrence et productrice de croissance. En situation de transition telle que la présente, qui, en raison de changements soudains et imprévus, n'a été ni planifiée ni
préparées, les structures, les attitudes, les relations de marché et les styles de gestion nécessaires n'existent tout simplement pas.

Si l'on laisse durer une telle situation trop longtemps, il est probable que la démocratie passera pour
responsable du ralentissement de l'économie, des pénuries et des incertitudes. Le concept même de démocratie pourrait
alors être remis en cause et permettre la prise du pouvoir par des extrémistes d'une marque ou d'une autre.

Winston Churchill avait raison lorsqu'il a plaisanté : « La démocratie est le pire de tous les systèmes, à l'exception des autres."

Pourtant, nous devons être conscients de son érosion, de sa fragilité et de ses limites.
Quand les gens disent que « les choses qui doivent être faites pour améliorer notre situation sont parfaitement évidents », ils demandent rarement « Pourquoi n'ont-ils pas fini alors ? Et s'ils le font, ils répondent, « parce que nous manquons de volonté (politique) ou à cause d'habitudes, ou de myopie, ou de politique, etc., etc. »
Notre incapacité à indiquer comment surmonter ces sources d'inertie et de résistance montre clairement que ce qu'il faut faire n'est pas évident du tout. 

Nous négligeons (psychologiquement parlant, nous nions) notre ignorance et disons à la place : « Tout ce qui nous manque, c'est la volonté politique ".

Le besoin crucial est de revitaliser la démocratie et de lui donner une perspective qui lui permettra de
faire face à l'évolution de la situation mondiale. Autrement dit, ce nouveau monde dans lequel nous nous trouvons est-il gouvernable ? La réponse est : probablement pas avec l'existant système de structures et attitudes. 

Avons-nous rassemblé les moyens et la sagesse nécessaires pour prendre des décisions sur l'échelle du monde problématique, compte tenu des exigences de temps ? Il y a une contradiction de plus en plus évidente entre l'urgence de faire
certaines décisions et la procédure démocratique fondée sur divers dialogues tels que les débats, débat public et négociations avec les syndicats ou les organisations professionnelles. L'avantage évident de cette procédure est l'obtention d'un consensus ;

son inconvénient réside dans le temps que cela prend, notamment au niveau international. Car en effet le
la difficulté n'est pas seulement dans la prise de décisions, mais aussi dans leur mise en œuvre et leur évaluation. Temps dans ces questions ont acquis un contenu éthique profond. Les coûts du retard sont monstrueux en termes de ressources humaines, la vie et les difficultés ainsi que des ressources. 

La lenteur de la décision dans un système démocratique est particulièrement dommageable au niveau international. Lorsque des dictateurs attaquent et qu'une police internationale est requise, les retards des décisions peut être fatale.

Le problème est alors d'inventer des instruments de gouvernance capables de maîtriser le changement sans violence et de maintenir une qualité de paix qui encourage plutôt qu'il n'inhibe un état de sécurité,l'équité et une croissance épanouissante pour les individus comme pour les sociétés. Non seulement devons-nous trouver de meilleurs moyens de gouvernance aux niveaux national et international, mais
il faut aussi déterminer les caractéristiques d'une capacité de gouverner. La « gouvernance » mondiale dans notre vocabulaire n'implique pas un « gouvernement » mondial, mais plutôt les institutions de coopération, de coordination
et une action commune entre des États souverains durables. Le bon, et pour nos besoins, encourageant la nouvelle c'est que :

- les peuples et les nations commencent à se mettre d'accord pour franchir les « prochaines étapes » ensemble (cependant, ils évitent soigneusement d'être d'accord sur les raisons pour lesquelles ils sont d'accord);

- cela semble se produire par des procédures de consensus pratiques plutôt que par le vote formel des représentants gouvernementaux;

- de nombreuses fonctions internationales, en particulier celles qui nécessitent le plus de prévoyance et de flexibilité opérationnelle, peuvent être exercées par le biais d'arrangements non gouvernementaux ;

- dans de nombreux domaines, les gouvernements ont déjà compris que le déploiement efficace de leur droit le plus cher, leur souveraineté, exige qu'elle soit mise en commun avec la souveraineté d'autres nations, afin de faire des choses qui aucun d'eux ne peut le faire seul.

En ce sens, la coopération ne signifie pas renoncer à la souveraineté, mais plutôt l'exercer par une action commune, au lieu de la perdre ou simplement ne pas l'utiliser.
Que ce soit à l'échelle internationale, à l'échelle nationale ou à celle de l'entreprise, la problématique de la gouvernance se pose elle-même dans des termes nouveaux. 

La complexité croissante du monde et de ses problèmes rend nécessaire une parfaite maîtrise sur d'énormes quantités d'informations avant de prendre une décision. Cela appelle immédiatement en considération la qualité de l'information, car elle est constamment menacée d'obsolescence rapide, d'éventuelles inexactitudes ou pure propagande.

Un deuxième obstacle à la gouvernance est causé par la taille et l'inertie croissantes des grandes bureaucraties
qui étendent leurs tentacules autour des centres de pouvoir et ralentissent ou paralysent à la fois la prise de décision et la mise en œuvre.

D'autres obstacles cruciaux sont le manque d'éducation pour une citoyenneté compétente et une compréhension intergénérationnelle inadéquate
Une autre difficulté vient de l'importance de l'économie au sein de l'administration et de ses structures sectorielles. 

Si les différents centres de pouvoir n'apprennent pas
coopérer et au contraire insister pour agir dans l'ignorance ou en opposition les uns avec les autres, que la lenteur administrative peut provoquer des retards pouvant conduire à l'inefficacité, à de mauvaises décisions et à des confrontations.

Jusqu'à présent, la gouvernance a fonctionné en traitant les problèmes séparément et sur un mode vertical.
Aujourd'hui, l'interaction entre les problèmes est telle qu'aucune question ne peut même être abordée, pour ne rien dire des solutions, hors du cadre de la problématique.

Cela exige à son tour des dirigeants d'un nouveau genre, capables de traiter les problèmes à la fois horizontalement et verticalement. Dans le monde qui se dessine, la prise de décision ne peut plus être le monopole des gouvernements et
leurs départements, travaillant dans, oui, un vide. Il est nécessaire d'impliquer de nombreux partenaires dans le processus, entreprises et industrie, instituts de recherche, scientifiques, ONG et organisations privées, afin que le
l'expérience et les compétences disponibles les plus vastes sont disponibles.
 
Et, bien sûr, un soutien public éclairé, conscient des nouveaux besoins et des conséquences possibles
serait indispensable. Un monde dynamique a besoin d'un système nerveux efficace au niveau local, non seulement
assurer la plus large gamme d'intrants, mais rendre possible l'identification de tous les citoyens aux processus commun de gouvernance.

Dans la situation actuelle, vide, le manque d'identification des personnes avec les processus de la société s'exprime comme
l'indifférence, le scepticisme ou le rejet pur et simple des gouvernements et des partis politiques, perçus comme
ayant peu de contrôle sur les problèmes de notre temps.
Ces attitudes se traduisent par une baisse du taux de participation aux élections.
Citez-moi un seul mec à part moi sur cette planète d'hypocrites que vous êtes qui a publié ca... cherchez... 
ca la ramène moins la hein... 
J’entends d’ici à la salive qui coince dans l'œsophage et le cœur qui tape à 150. La frustration d'être acculé dans sa merde.
Et une fois que ceci est donc lu dans le contexte, on peut placer le vrai paragraphe d'origine, que je recopie :
The Common Enemy of Humanity Is Man :

In searching for a new enemy to unite us, we came
up with the idea that pollution, the threat of global
warming, water shortages, famine and the like would
fit the bill. In their totality and in their interactions
these phenomena do constitute a common threat
which demands the solidarity of all peoples. But in
designating them as the enemy, we fall into the trap
about which we have already warned, namely mistaking symptoms for causes. All these dangers are
caused by human intervention and it is only through
changed attitudes and behaviour that they can be
overcome. The real enemy, then, is humanity itself.

L'ennemi commun de l'humanité est l'homme :

 En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous sommes venus avec l'idée que la pollution, la menace de le réchauffement, les pénuries d'eau, la famine, etc. serait conforme. Dans leur totalité et dans leurs interactions ces phénomènes constituent une menace commune qui exige la solidarité de tous les peuples. Mais en en les désignant comme l'ennemi, on tombe dans le piège dont nous avons déjà prévenu, à savoir prendre les symptômes pour les causes. Tous ces dangers sont causés par l'intervention humaine et ce n'est qu'en changeant les attitudes et les comportements qu'ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est donc l'humanité elle-même.
le club de Rome a-t-il menti sur le model3 ? NON !
Les merdes vont elles arriver ? OUI
lesquelles ? ENERGIE, POLLUTION, TOUT EST VRAI. 

On utilise le climat avec la T° comme devanture pour éviter d'accuser un pays et de se faire la guerre. Mais c'est une erreur de stratégie, c'est pas la T° qu'il faut incriminer, qu'elle monte ou non, c'est l'état général du système à cause de l'homme en surnombre et surrégime en tout. C’est un positionnement sage et le nœud du problème c'est l'éducation du système qui vous a érigé aux rangs de rois, de dieux, alors vous n'êtes que des merdes ! Et des merdes qui consomment trop ! 

Elle est là la réalité. Et ça on ne peut pas la dire ouvertement, sinon comme le bouquin le dit, le politique ne gagne pas le poste. 

Votre avenir est simple, vous ne mourrez pas, on ne vous tuera pas. Vous allez plier pour que le système perdure, vous allez pencher la tête. Si on vous saisit la voiture et vous ordonne l'injection et la marche à pied, vous obéirez, car vous n'avez pas le choix, si vous refusez vous mettez le système en danger et il vous éliminera.  Considérez que le système est sympa, de rendre les choses compliquées pour vous tout doucement, et vous laisse du temps pour vous habituer et vos enfants aussi, si le changement était brutal comme je l'ai déjà écrit, 80% d'entre vous ne passe pas le 1° mois. Et si vous refusez de changer de modèle vous aller tous nous faire tuer. Et ça, soyez-en sur, y en a qu'on pas l'intention de se laisser emmener dans vos caprices de merde de boomer.

Pétrole et pandas

En sa qualité de président de Petro Canada (1976-78), Strong a soutenu l’appel national à la création d’un moratoire nucléaire pour le Canada, lancé par le Regroupement pour la surveillance du nucléaire en 1977. Ce document exigeait non seulement l’arrêt immédiat de la poursuite de tous les réacteurs alors en construction, mais avançait également l’argument sophistique selon lequel davantage d’emplois pourraient être créés si des sources d’énergie et des méthodes de conservation « écologiques » étaient développées en lieu et place des combustibles nucléaires et fossiles. Étranges désirs de la part d’un dirigeant du secteur pétrolier, mais pas si étranges si l’on considère le rôle de Strong de 1978 à 1981 en tant que vice-président du Fonds mondial pour la nature (WWF), une organisation fondée par les monarchies britanniques et néerlandaises à l’initiative de la Royal Dutch Shell en 1963. Strong a été vice-président pendant la période où le Prince Philip, co-fondateur du WWF, en était le président.

En 1971, alors qu’il était encore à la tête de l’Agence canadienne de développement international, Strong est devenu membre fondateur du 1001 Nature Trust, une organisation internationale d’élite créée par le prince Bernhard des Pays-Bas et le prince Philip Mountbatten. Le 1001 Trust travaillait en tandem avec l’autre club secret du prince Bernhard, le « Bilderberg Group », qu’il a fondé en 1954 et qui était destiné à financer le nouveau mouvement écologique émergent (tous les membres du 1001 ont payé 10 000 dollars pour leur adhésion, qui ont été mis en commun pour financer le Fonds mondial pour la nature et d’autres organisations écologiques).

À ce poste, Strong a aidé à recruter 80 « initiés » canadiens pour cette société d’élite autrement connue sous le nom de « Strong’s Kindergarten », les 3 plus éminents étant Lord Conrad Black, Peter Munk de Barrick Gold (1927-2018) et feu Sir Louis Mortimer Bloomfield de Permindex (1906-1984). Avant de prendre la fonction de vice-président du WWF, le poste avait été occupé par nul autre que Louis Mortimer Bloomfield lui-même !

Comme le documente minutieusement le procureur de la Nouvelle-Orléans, Jim Garrison, dans son livre de 1991 intitulé Sur la piste des assassins, Permindex et Louis Mortimer Bloomfield ont tous deux été découverts au cœur du complot visant à assassiner le président John F. Kennedy [dernier lien non disponible mais accessible ici, NdT].

Bloomfield lui-même est devenu un agent des renseignements lorsqu’il a été recruté par le maître espion du MI6, William Stephenson, alors que ce dernier dirigeait le camp X d’Ottawa pendant la Seconde Guerre mondiale et qu’il gérait des assassinats et d’autres opérations secrètes pendant la guerre. Pendant la guerre froide ces opérations se sont poursuivies, après un ravalement de façade, mais ont été prises en flagrant délit d’exécution dans plusieurs des 13 tentatives d’assassinat perpétrées contre le Français Charles De Gaulle (raison pour laquelle les opérations de Permindex ont été interdites en France et en Suisse).

Strong décapite l’énergie nucléaire de l’Ontario

En 1992, Strong avait terminé son rôle à la tête du Sommet de la Terre de Rio au Brésil et était retourné dans son pays natal pour tenter de finaliser le démantèlement du programme nucléaire canadien dans le cadre de sa nouvelle affectation en tant que président d’Ontario Hydro, un poste qu’il a occupé de 1992 à 1995 sur invitation officielle de Bob Rae, alors premier ministre néo-démocrate de l’Ontario et frère de John Rae de Power Corp. Bob Rae a ensuite été le chef du Parti libéral de 2011 à 2013, en préparation de la nomination de Justin Trudeau comme nouvelle figure de proue du parti, en avril 2013.

Strong a été mis à ce poste à l’époque où l’Ontario avait le programme nucléaire le plus ambitieux d’Amérique du Nord et s’avérait être une épine dans le pied du programme de croissance zéro exigé par l’Empire britannique. L’achèvement de l’énorme système Darlington en Ontario avait démontré ce qu’une planification scientifique à long terme pouvait accomplir, bien que la compagnie se soit retrouvée bien au-delà de son budget. Les problèmes budgétaires (qui se sont produits lors d’une profonde récession en 1992) ont été utilisés par Strong pour « restructurer » le service public provincial de l’énergie.

Les « remèdes » choisis par Strong pour résoudre les problèmes financiers d’Ontario Hydro ont consisté à annuler immédiatement tout nouveau projet de développement de l’énergie nucléaire, à licencier 8 des 14 directeurs et à réduire les effectifs de la société en licenciant 14 000 employés, dont beaucoup étaient les techniciens nucléaires les plus spécialisés et les plus expérimentés du Canada.

Avant de quitter son poste en 1995 avec la chute du gouvernement de Bob Rae, Strong s’est assuré que son travail se poursuivrait avec son remplaçant Jim MacNeill qui a dirigé Ontario Hydro de 1994 à 1997. MacNeill a été co-architecte de la Charte de la Terre et du génocidaire Agenda 21 lors du Sommet de Rio et un agent de l’État profond depuis longtemps. Sous MacNeill, le mandat de Strong d’arrêter inutilement huit réacteurs pour les remettre en état et un autre de façon permanente a été appliqué en 1997, tandis qu’Ontario Hydro elle-même était scindée en trois entités distinctes. Avec la perte irréparable de la main-d’œuvre et des compétences spécialisées, Strong et MacNeill ont laissé Ontario Hydro et EACL mortellement blessés pour les années à venir.

Surprenant tous les observateurs, EACL et les services publics de l’Ontario ont pu remobiliser les forces restantes pour mener à bien la remise à neuf de tous les réacteurs, dont le dernier a été remis en service en octobre 2012. Alors que le moratoire canadien sur l’énergie nucléaire se poursuit, avec le rachat de SNC Lavelin en 2011, une approche de coopération sur la construction nucléaire internationale en partenariat avec la Chine a débuté en juillet 2014, au grand dam de Strong. Toute tentative de comprendre le scandale SNC de 2019 sans comprendre ce processus antérieur, n’ira pas loin.

L’échec de la tentative de Strong d’infiltrer la Chine

De 2000 à 2015, les talents de Strong ont été mis à profit pour tenter de subvertir les aspirations du développement asiatique et de formation d’une alliance eurasienne autour du grand dessein économique moteur des Nouvelles Routes de la Soie. Strong a été déployé à l’université de Pékin où il a été professeur honoraire, président de sa fondation environnementale et président du conseil consultatif de l’Institut de recherche sur la sécurité et la durabilité pour l’Asie du Nord-Ouest.

Face à l’effondrement de l’économie transatlantique, les Chinois ont résisté avec succès au programme du Green New Deal qui exigeait la soumission de leur souveraineté nationale à un ordre mondial supranational de croissance zéro et de dépopulation. En dépit de cette pression, une puissante tradition de confucianisme et son engagement en faveur du progrès ont démontré leur puissante influence dans les différentes branches de l’establishment chinois qui voient le seul espoir de survie de la Chine situé dans son partenariat stratégique avec la Russie et dans les méga-projets à long terme visant à sortir son peuple de la pauvreté et à le faire entrer dans le 22e siècle.

L’initiative « Nouvelle Route de la Soie » est apparue comme une véritable opposition à la folie bipolaire du militarisme/monétarisme de la droite occidentale, à droite, et du dépeuplement des programmes « Great Reset » et les « Green New Deals« , à gauche. Des milliers de milliards de dollars de crédit dans de grands projets d’infrastructure à travers l’Eurasie, l’Afrique et l’Amérique latine ont donné lieu à la plus grande explosion d’optimisme culturel, de productivité et si la population et les dirigeants de l’Occident voulaient bien agir avec la passion et la sagesse appropriées, il y a une très bonne occasion de débarrasser l’humanité de l’héritage de Maurice Strong.

Matthew Ehret

Conclusion

Tout le reste de l'article c'est de la merde, factuelle, mais basée sur une seule minute d'angle, de dire qu'on a empêché le progrès et l'énergie dans le pays de l'auteur et ce dernier cherche à accuser des gens dans le continuum de merde du monde humain historique pour avoir une explication de la situation actuelle  tout en exposant des éléments qui montrent la vérité qu'il ne veut pas comprendre par principe idéologique égalitariste d'utopie sociale, il les retourne contre la logique et emploie toute une gymnastique de complot, d'agent secret de récit et de positionnement politique, simplement pour expliquer que les anglo-saxons ne tolèrent pas qu'on les dépasse. 

Qu'est ce qu’il nous emmerde avec ses pauvres 19 réacteurs le caribou, y ferait mieux de comprendre pourquoi les anglais ont insisté sur le réarmement de l'Allemagne après WW1 vis-à-vis de l'empire soviétique et l'Asie. C'est plus intéressant que ce qu'il se passe en ontario...
Lisez ca plutôt :

4 commentaires sur « Quand l’ignorance des pourvoyeurs de pensées erronées et incomplètes corrompent le peu d’esprit critique restant dans l’âme humaine ou qu’est-ce que c’est finalement le great reset et le nouvel ordre mondial. »

  1. pas mal ;))

    M’enfin au final cela ressemble a une sacré tyrannie. Le tyran est souvent bon pour son peuple jusqu’au moment ou il se transforme en dictateur ;)))

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  2. Le truc c’est que les gens pensent être dans une démocratie. C’est une peau d’agneau sur un corps de loup en réalité. Le système est totalement verrouillé.

    Je préfère une dictature franche qui dise son nom mais qui fasse ce qu’il y a à faire plutôt qu’une démocratie de couilles molles et d’escrocs et que personne ne dise rien.

    Pour rappel, en ce moment le ministre de la Justice est mis en examen et personne ne dit rien. C’est assez démentiel comme situation.

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