le Shoahrona virus ? Hier, aujourd’hui, demain, le monde à un carrefour sans précédent qui n’a rien à voir avec hier

Amusant n’est-ce pas de remplacer l’interdiction de 1942 par un accès conditionné via un pass en 2021 et de voir qu’on puisse tirer des liens entre hier et aujourd’hui. C’est humain. C’est une quête de points de fixation de l’esprit sur la montagne Humanité pour ne pas décrocher et tomber dans le vide. Tout le monde le fait. Moi inclus.

J’aime bien les gens qui disent  » ca ne redeviendra jamais comme avant à la normalité « . Ils ont cette faculté de se programmer à croire ce qu’ils ne pensent pas eux-mêmes par eux-mêmes, par soucis de conformisme, l’écho d’opinion, pour ceux qui ont lu mes réflexions passées dans le blog. Ils l’ont lu, on leur a dit. Ils le répètent. Une propagande. Une maladie.

Ces individus n’ont ni sens de la culture historique, ni conception du temps en général,

Parce qu'ils n'en ont pas pour eux peut-être ... ?

- pour marvel et nintendo, y en a du temps...

ni même lucidité pour réaliser que leur conception même de la normalité est un cadre doctrinaire, culturel, qui ne trouve aucun fondement structurel au sens technique et qui reflue dans le temps par cycles, à cause de la nature humaine et de sa décompression face aux pressurisations causées par les constructions sociales, les normes, imposées par les régimes au fil du temps.

La normalité en 1907 c’est le cheval. La normalité en 1913 c’est la voiture.

La normalité en 1960 c’est un peuple blanc, la normalité en 2021 c’est 40% de klingons en dégradé colorimétrique à la bénéton dans le pays avec 85 de QI.

La normalité en 1980 c’est les cabines téléphoniques à chaque coin de rue, la normalité en 2021 c’est la décérébration absolue des jeunes avec un terminal internet de 15x8x1 dans la poche arrière du pantalon.

La normalité pré coronavirus c’était un monde libéral avec la compétition sans se soucier des ressources. La nouvelle normalité c’est d’imiter Pétain le temps que vous soyez tous modifiés génétiquement avant de comprendre que ça ne fonctionne pas et ne finisse par décimer l’espèce humaine par mutation génétique si par malheur un réactif déclencheur est lâché aussi dans la nature.

La monarchie… puis le chaos…puis l’empire… puis…le chaos…puis la république…puis..le chaos…

J’affirme que nous sommes à un carrefour de notre histoire en tant qu’espèce. Si l’ on peut prendre des points dans le passé, les tordre pour qu’ils se superposent avec le présent, il n’en demeure pas moins que nous ignorons demain, qu’hier s’est continué, et que nous sommes aujourd’hui ce que nous sommes, parce qu’hier s’est produit tel qu’on le connait, et non pas tel qu’on s’évertue à vouloir le faire paraitre. Ça vaut pour les guerres, l’esclavage, et tout ce qui pose problème à la gauche en général.

Ceci étant dit, l’évolution, cette non-normalité dans le temps, nous amène en 2021 à voir une réalité en face, qui est douloureuse, complexe, injuste.

Nous sommes dans l’ère de la saturation.

Les nostalgiques d’antan qui voudraient réimpulser l’esclavage, asservir les autres, asseoir leur domination telle qu’elle était au XIX, ne peut plus se faire. La non-normalité a rendu sa liberté aux peuples. On tire encore des ficelles, c’est pas clair ni très propre mais il y a un vernis de surface qui propose une égalité et une disposition plus égalitariste et juste, même si elle ne reflète pas tout à fait le réel profond, mais ce n’est pas le sujet.

Ceux qui s’opposent dans la façon dont l’ordre doit être appliqué et qui en matière de géopolitique, réunis en blocs, veulent leur part du gâteau, font tout pour que la continuité de l’histoire ne se fasse pas, qu’il n’y ait plus de « normalité » et qu’ils prennent avantages sur le terrain, dominent. Cette lutte est constante, à toute échelle, de l’individu à la nation. La normalité c’est le conflit, pas la paix.

La normalité c’est une habitude observable. Un chien gentil qui du jour au lendemain devient enragé et mord tout le monde, il s’est passé quelque chose d’anormal, d’inhabituel.

Le carrefour auquel je fais allusion c’est d’imager un repas à table, du temps des serviteurs et des esclaves, et de voir la profusion sur la table, puis de mettre d’un seul coup tout le tiers monde, toutes les nations libérées, les serviteurs, les domestiques, même les voisins tiens, un bon gros meeting et chacun se retrouve avec une bouchée au lieu d’une assiette. Chacun à faim, et chacun en veut à l’autre. Tout le monde a la haine. On sait qu’une partie se laisserait mourir de faim, quand une autre deviendrait cannibale sans vergogne, quand une autre ferait un massacre pour récupérer un peu de quoi manger.

il n’y a pas de normalité de cadre là-dedans, la seule constante c’est la nature humaine. Et dans quelles limites de construction sociale elle collabore, elle coopère. À partir de quels critères elle s’affranchit des règles.

Le nazisme n’a pas duré. ça n’a été une normalité que de 33 à 39 et une folie jusqu’en 44.

Le coronavirus ne durera pas, parce que ce n’est pas une normalité sur un temps long. On ne fait pas porter de masque et contrôler la population pour injecter un produit commercial et l’asservir parce qu’une poignée de vieux refusent de mourir.

Porter un masque, alcooliser les mains dès qu’on touche quelque chose, contrôler l’accès des individus, c’est contraire à la nature humaine, qui fait partie de la nature tout court, avec un N majuscule d’ailleurs, la Nature.

Aucun animal ne demande l’autorisation à l’arbre pour manger le fruit. Aucun animal faible n’indique sa position pour que ses prédateurs viennent et le dévorer. Aucun oiseau fait un appel à tour de contrôle avant de s’envoler.

Ce que vous lisez c’est une tentative pour vous expliquer ce qu’Etienne de la Boétie disait en 1754, que l’asservissement est volontaire. Le tyran n’a contrôle que parce que vous lui en donnez en lui obéissant. Une construction sociale c’est de ne pas taper sur les autres, d’être gentil, serviable, de participer, de partager, ainsi la cité, la tribu, la société, la civilisation nait et fonctionne. Si un individu ne respecte pas le contrat social et viole les lois, endommage les structures, détruit l’ambiance, refuse les devoirs et s’octroie des droits sans contrepartie, il est néfaste pour cette construction, cet ordre, cette organisation. Il faut le neutraliser, quelle que soit la façon dont le contrat social en a décidé… Aujourd’hui avec humanité on ne tue plus et on enferme les gens, soit, mais ils ressortent et ils recommencent en pire… verdict ?

Si vous obéissez, vous êtes docile, volontaire, sage, mais qu’on vous ordonne de sauter d’un pont, si vous avez un libre arbitre fonctionnel, un logos, avant toute action vous allez vous poser la question POURQUOI.

Le moment où vous ne vous posez plus la question, nous n’êtes plus un humain, vous êtes une entité d’élevage, un produit, un carburant. Il n’y a pas besoin de partir dans des considérations transhumanistes et ce genre de conneries pour comprendre ce qui fait la nature humaine, sa sociologie, la manière dont elle fonctionne, « sa normalité ».

Le carrefour où nous nous trouvons c’est que nous avons dépassé les moyens avec lesquels nous vivons, par normalité du toujours plus, parce que nous sommes ainsi faits et qui nous définit pour ce que nous sommes, de dépasser notre condition, ce qui au XVIIIe tue la croyance pour la raison. Aujourd’hui nous perdons la raison parce que nous voyons que nous perdons le contrôle et nous réimpulsons la CROYANCE. Celle de croire que nous allons vacciner pour sauver, celle de revenir à une normalité, ou celle de croire que nous ne reviendrons pas à hier, ce qui est impossible à certifier de toute façon.

L’espèce humaine est jeune, nous avons encore énormément à apprendre et à faire. Tant que nous monétiserons notre fonctionnement, que l’accès au savoir et aux ressources seront contrôlés, des conflits éclateront. La linéarisation de l’espèce passera par une mentalité égale et une conception généralisée du monde.

Ce qui à ce jour, n’est pas, ne veut pas être entendu et est rejeté en bloc par les groupes identitaires. Et ils ont raison. Parce que c’est ce qui est constitutif de l’identité. C’est ce que nous sommes, qu’on mange du porc ou non, qu’on se torche le cul avec de la ouate ou avec la main, qu’on mange des insectes ou non, qu’on baise des animaux ou non, qu’on se fasse enculer ou non, qu’on soit blanc, noir, jaune bleu ou vert. Et on le voit très bien dans la volonté de la reconnaissance des minorités que la généralité ne doit plus être, le prince charmant et la princesse pas bien, la princesse blanche qui se fait bouffer la chatte par la princesse du wakanda, ok.

Blanc homme barbu vu comme tel, pas bien, mais se disant femme noire libanaise, ok. Et le contrat social accepte. Le système, la société change, prend en considération. Donc elle évolue, il n’y a pas de normalité. Puisqu’en 1960 les PD étaient électrocutés au Canada pour des traitements comportementaux, alors que le mariage homo est légalisé depuis 2005.

Il n’y a pas de normalité, et on entretient la différence puisqu’elle est identitairement constitutive de l’individu.

Mais ceci outrepasse la Nature, biologique, implacable, qu’un homme barbu blanc de 40 ans se disant femme noire libanaise ne pourra pas procréer. Alors on va modifier le contrat et ses lois pour pouvoir adopter.

Ça vaut ce que ça vaut, pas la peine de m’étaler vous savez ce que j’en pense. Tout ce développement n’est là que pour démontrer que les gens autour de la table pour le meeting qui n’ont pas à bouffer, devraient se mettre d’accord, mais que chacun restera sur ses positions et revendications, et c’est ce qui rend la situation inextricable.

Le carrefour civilisationnel c’est quand la saturation est telle qu’on a même pas de précédent historique car jusqu’à maintenant c’était par couches, comme un oignon, ou par blocs, par pans. Désormais le problème est global et il n’y pas plus d’espace derrière. C’est occupé. C’est complet. Il y a du monde et il est déjà à la table au meeting. On ne peut plus niquer la population, prendre les terres et faire des nouvelles villes, c’est fini ça. Les dernières tentatives sont l’Ukraine, la Syrie… Quand l’équilibre en jeu est trop grand les grands blocs Chine, Russie, interviennent. L’occident n’est plus que l’ombre de lui-même. Le monde fini dans son volume est désormais plein.

Le carrefour c’est l’espace qui manque, c’est la densification, la compression, c’est de la saturation. C’est de l’overdrive. Ça fonctionne bien pour le rock et la techno, pour la musique classique un peu moins.

La saturation ça ne laisse pas de place pour tout le monde, quand un signal est saturé, il CLIP, l’écrêtage est constant et il n’y a plus de trace pour les fréquences plus aiguës, on perd en définition. On s’abrutit, on régresse. On se bestialise. On redevient sauvage.

C’est exactement le processus en cours. Et c’est exactement ce qu’est aussi le multiculturalisme. Il ne combine pas les cultures et les mœurs, il les remplace en proportion de la pratique et des pratiquants. écoutez RTL2, c’est une capsule temporelle des années 80. Écoutez NRJ et FUN radio, vous êtes en Afrique du Sud à Durban en pleine émeute. C’est wakanda land. C’est le zoo. La singerie. La saturation, la dégénérescence.

Pas de contrôle, pas de finesse, pas d’élégance, que de la haine, de la puissance brute, pas de logique. Un déchainement de fureur. La bestialité de la nature humaine reprend ses droits car la construction sociale s’est effondrée, incapable de contenir ses participants.

Le covid passera par ces processus-là. Obligatoirement. L’eau et l’électricité passent toujours par le chemin le plus court. Il y aura des faux certificats, de la corruption, du trafic, de l’économie non alignée. L’entropie fera son œuvre, le chaos s’installera.

La plupart des gens acceptent d’obéir quand c’est pour le bienfondé de l’ensemble, mais dès le moment où vous leur permettez de réaliser qu’ils ont leurs vies entre vos mains, quand vous faites n’importe quoi avec ils réagissent, et plus vous acculez un humain plus il devient imprévisible et dangereux.

Ça c’est une normalité de notre nature. Traumatisez un enfant, une fois adulte, donnez-lui le pouvoir… et observez bien ce qu’il se passe. Mais un conseil, reculez-vous un peu.

La façon dont le covid est géré aujourd’hui ne sont que les enfants qui demain mettront le feu à la planète.

L’humain est le résultat de ses propres choix.

Si vous pouvez dormir la nuit, c’est que votre quotidien n’a pas vraiment changé. Dans ce cas rendormez-vous et attendez le bon moment pour voir les choses en face. Pour ceux qui ont compris, les changements de comportements sont déjà en train de s’opérer, je ne m’inquiète pas pour vous, si vous savez, vous anticipez.

La saturation c’est comprendre que les places coutent cher. Une place ça se défend, ça se perd, ça se conquiert. Elle est là, votre normalité. Il est là, votre avenir.

Je vous aurais prévenu.

Ça n’est pas du catastrophisme, je n’ai rien à vendre, pas de mug, pas de tee shirt, pas de cagnotte. Je ne vous demande rien. Vous n’êtes même pas obligé d’accepter ce que je dis, et vous devez même essayer de me mettre en défaut. C’est votre obligation morale d’individu à part entière d’essayer de trouver une couille dans le raisonnement. Je ne fais que vous présenter MON raisonnement.

Aux échecs, on fonctionne en triptyque : TEMPS – FORCE – ESPACE.

L’espace, il est occupé, c’est plein. Il ne reste que deux façons de procéder, par l’usure avec le temps, et par la force. En général on use avant et on achève après. D’où les vaccins obligatoires pour les personnels soignants pendant les grandes vacances après les vieux afin que progressivement la résistance s’amenuise pour que le couperet final soit relativement léger étant donné que la majorité aura succombé à l’appel de l’aiguille avant parce qu’on leur aura promis le retour à la normalité.

La force elle arrivera. Tout ce que je dis, c’est que les irréductibles à la vaccination ayant un fort tempérament, doivent accepter pour une posture libertaire et individuelle, de se préparer à être persécutés, voir dans l’absolu supprimés par un système qui ne se remettra pas en cause car ses impératifs le pousse à croire en son bienfondé opératoire.

Et rappelez-vous cette phrase :

Tout individu  est capable des pires atrocités à partir du moment où l'autorité qui lui ordonne est considérée à ses yeux comme légitime.

Dites-vous bien que les appliquants, les bêtes et cons selon Platon, ne sont là que dans la continuité du diktat salarial. Les forces de l’ordre ne sont pas de votre côté. Nous ne sommes pas encore dans un cadre d’autorité, mais dans une logique monétaire, financière d’imposer une demande pour un marché sanitaire créé de toute pièce.

Je n’ai jamais cru en quelconque divinité, mais de plus en plus je reconnais ne pas savoir dans mes expériences de pensées comment sortir de cette situation sans apporter un élément externe qui ferait autorité.

La saturation ne mène qu’à la destruction et je ne sais pas voir au-delà du néant, je n’ai pas ce talent.

6 commentaires sur « le Shoahrona virus ? Hier, aujourd’hui, demain, le monde à un carrefour sans précédent qui n’a rien à voir avec hier »

  1. La normalité du moment, de ton point de vue, peut être perçu comme une mode. Elle ne dure jamais trop longtemps et elle est faite pour distinguer les générations et les différencier. La covid c’est un mode, une mode, autoritaire comme il y en a eu d’autres avant et peut être d’autres après.
    En fait il n’y a aucune normalité chacun est différent. Par contre, il y a des comportements qui eux sont multiples tout comme il y a des aptitudes multiples. L’important me semble être de ne jamais se laisser imposer quoi que ce soit. S’il faut sortir du jeu alors il faut sortir. L’inverse est aussi essentiel ne jamais imposer à quiconque. Ensuite s’il faut se battre et qu’il n’y a pas d’autre alternative ! Alors il faut se battre.

    Mais se battre contre des modes n’as aucun intérêt tant qu’elles ne te sont pas imposées de surcroit par la force.

    On a encore de la marge. Mais il vaut toujours mieux prévenir que guérir ;))

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  2. « Tout individu est capable des pires atrocités à partir du moment où l’autorité qui lui ordonne est considérée à ses yeux comme légitime. »

    Heureusement que non.

    Sinon, y’a moyen de télécharger ton travail sur un serveur d’échange de fichiers.
    Si tu commences à être connu, y’a des chances de disparition .

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