Premier test en extérieur pour limiter le réchauffement climatique, heu pardon, flinguer l’humanité

Un test de géo-ingénierie lance silencieusement des cristaux de sel dans l’atmosphère

Une expérience de géo-ingénierie solaire à San Francisco pourrait conduire à des nuages ​​plus brillants qui reflètent la lumière du soleil. Les risques sont nombreux

On sait pas, mais…mais…on le fait quand même.

Le premier test extérieur du pays visant à limiter le réchauffement climatique en augmentant la couverture nuageuse a été lancé mardi depuis le pont d’un porte-avions désaffecté dans la baie de San Francisco.

L’expérience, que les organisateurs n’ont pas annoncée largement pour éviter les réactions négatives du public, marque l’accélération d’un domaine de recherche controversé connu sous le nom de modification du rayonnement solaire. Le concept consiste à projeter des substances telles que des aérosols dans le ciel pour réfléchir la lumière du soleil loin de la Terre.

les adeptes des chemtrails vont avoir une érection.

Cette initiative menée par des chercheurs de l’Université de Washington a renouvelé les questions sur la manière d’étudier de manière efficace et éthique les technologies climatiques prometteuses qui pourraient également nuire aux communautés et aux écosystèmes de manière inattendue. L’expérience consiste à pulvériser des particules microscopiques de sel dans l’air, et le secret entourant son timing a pris même certains experts au dépourvu.

Je pense que ceux qui font cela n’ont jamais été en contact avec la terre et n’ont aucun passif historique quant à la salaison du sol pour tuer toute forme de fertilité possible ultérieure. Et un nuage, c’est connu, ça reste statique et ne franchit pas de frontière, on le sait de puis 1986…

« Comme cette expérience a été gardée secrète jusqu’au début du test, nous sommes impatients de voir comment l’engagement du public est planifié et qui sera impliqué« , a déclaré Shuchi Talati, directeur exécutif de l’Alliance pour une délibération juste sur la géo-ingénierie solaire, une organisation à but non lucratif qui vise à inclure les pays en développement dans les décisions concernant la modification solaire, également connue sous le nom de géo-ingénierie.

« Bien qu’il soit conforme à toutes les exigences réglementaires actuelles, il existe un besoin évident de réexaminer à quoi doit ressembler un cadre réglementaire solide dans un monde où des expérimentations [de modification du rayonnement solaire] ont lieu », a-t-elle ajouté.

Le projet Coastal Atmospheric Aerosol Research and Engagement, ou CAARE, utilise des pulvérisateurs spécialement conçus pour projeter des milliards de particules de sel marin dans le ciel dans le but d’augmenter la densité – et la capacité de réflexion – des nuages ​​marins. L’expérience se déroule, lorsque les conditions le permettent, au sommet du musée de la mer, de l’air et de l’espace de l’USS Hornet à Alameda, en Californie, et se poursuivra jusqu’à la fin du mois de mai, selon un formulaire de modification météorologique déposé par l’équipe auprès des régulateurs fédéraux.

Le projet intervient alors que la chaleur mondiale continue d’effacer les records de température mensuels et annuels et dans un contexte d’intérêt croissant pour la modification du rayonnement solaire de la part des bailleurs de fonds de la Silicon Valley et de certains groupes environnementaux . Cela fait également suite à l’ arrêt le mois dernier d’une expérience de l’Université Harvard qui prévoyait d’injecter des aérosols réfléchissants dans la stratosphère près de la Suède avant d’être annulée après s’être heurtée à l’opposition des groupes autochtones.

Sans déconner…

La modification du rayonnement solaire est controversée car l’utilisation généralisée de technologies telles que l’éclaircissement des nuages ​​marins pourrait modifier les conditions météorologiques de manière peu claire et potentiellement limiter la productivité des pêcheries et des exploitations agricoles. Cela ne s’attaquerait pas non plus à la principale cause du changement climatique – l’utilisation de combustibles fossiles – et pourrait conduire à une hausse catastrophique des températures mondiales si les principales activités de géo-ingénierie étaient interrompues avant que les gaz à effet de serre ne diminuent à des niveaux gérables.

L’Université de Washington et SilverLining, un groupe de défense de la recherche en géo-ingénierie impliqué dans le projet CAARE, ont refusé les demandes d’entretien. Le maire d’Alameda, où l’expérience est menée, n’a pas répondu aux questions envoyées par courrier électronique sur le projet.

Le secret entourant cette expérience historique semble avoir été intentionnel, selon le New York Times , qui, avec un journal local, a obtenu un accès exclusif pour couvrir le tir initial des canons pulvérisateurs.

« L’idée d’interférer avec la nature est si controversée que les organisateurs du test de mardi ont gardé les détails strictement secrets, craignant que les critiques ne tentent de les arrêter », a rapporté le Times . La Maison Blanche s’est également distancée de l’expérience, menée avec la coopération d’un musée affilié au Smithsonian.

L’équipe du projet a vanté sa transparence, notant que les visiteurs de l’USS Hornet, qui sert désormais de musée flottant, pourront voir l’expérience.

« Le monde doit progresser rapidement dans sa compréhension des effets des particules d’aérosols sur le climat« , a déclaré Kelly Wanser, directrice exécutive de SilverLining, dans un communiqué de presse. « Avec un profond engagement en faveur de la science ouverte et d’une culture d’humilité. je m’étouffe en riant par rapport à ce que je viens de lire plus haut. L’Université de Washington a développé une approche qui intègre la science à l’engagement sociétal ( j’aime comment ils nomment désormais la contrainte par l’ignorance et le mensonge ) et peut aider la société dans les étapes essentielles vers l’avancement de la science, l’élaboration de réglementations, la promotion d’une prise de décision équitable et efficace et la construction d’une compréhension partagée dans ces domaines.

le tout en faisant n’importe quoi et sans prévenir personne, bien entendu.

Le projet CAARE fait partie d’une étude côtière plus vaste que le consortium de l’Université de Washington envisage de poursuivre. La deuxième phase de cet effort se déroulerait sur une jetée à environ un mile au large dans un environnement côtier, selon une description d’étude publiée lundi par l’école.

Même si l’examen par les pairs de cette proposition s’est révélé globalement positif, les scientifiques ont également signalé certaines lacunes en matière de transparence.

3x rien…

« Un évaluateur a noté qu’il serait utile d’avoir plus d’informations sur l’emplacement du site », indique un rapport commandé par l’Université de Washington . « Y a-t-il une résistance ou des préoccupations locales (fondées ou non) concernant des questions telles que la qualité de l’air locale, etc. ? Combien d’options existent et comment les différentes options affectent-elles le plan d’étude sur le terrain ? »

Le plan d’étude ne faisait pas non plus mention de ses impacts écologiques potentiels, une considération clé recommandée par un atelier sur l’éclaircissement des nuages ​​marins de l’administration Biden en 2022 . Il s’agit d’un oubli important, selon Greg Goldsmith, doyen associé à la recherche et au développement à l’Université Chapman.

oui… c’est… simple oubli… hein..? uiui…

« L’histoire nous a montré que lorsque nous nous impliquons dans une modification de la nature, il y a toujours des conséquences imprévues très graves », a déclaré Goldsmith, qui étudie les implications du changement climatique sur la structure et le fonctionnement des plantes. « Et par conséquent, il serait prudent d’écouter ce que l’histoire a montré et d’en attendre les conséquences. »

Oui, réfléchir, ça serait bien. Baser une technologie sur un mensonge, c’est toujours compliqué de vouloir garder une trajectoire voulue tout en mentant sur les effets qui forcement seront différents de ce qu’ils annoncent puisque l’effet voulu est dissimulé.

Je n’ajouterai qu’une seule chose. Quand on fait une électrolyse, tant qu’on ajoute pas de sel dans la flotte, la conductivité est quasi nulle et il n’y a pas l’effet escompté.

M’est d’avis que le ciel chargé de sel a un effet démultiplicateur si, par exemple, on lâchait une petite bombe dans l’atmosphère pour annihiler le grid, entre autre. Ne m’étonnerait pas des essais militaires dans la zone peu après pour mesurer la différence de conductivité. A voir. Restons en retrait, parce que… c’est complotiste.

18 commentaires sur « Premier test en extérieur pour limiter le réchauffement climatique, heu pardon, flinguer l’humanité »

  1. On a que embarrass du choix.

    https://x.com/CharretChristo1/status/1776210294773051436

    https://x.com/CaudeHenrion/status/1777061477515735229

    https://x.com/f_philippot/status/1776503493823467594

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    1. Tu devrais faire une pause et t’éloigner de twitter.

      C’est pour ta santé mentale.

      surtout avec ces contenus de merde. Entre les extraits de films et les documents qui datent d’année en arrière tellement dégradé par la surcompression qu’on y voit rien…

      Fais une pause.

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      1. J’ai pas de compte, j’en fais pas, c’est des liens vus à droite et à gauche.

        Je trouve ça ironique, sauvons la planète !

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  2. Pour le côté injections, si certains lots sont conducteurs compatibles couplé au fait que ça déglingue le système immunitaire…

    Le coup du multiplier les problèmes pour masquer les problèmes.

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  3. on est plus à ça près…

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  4. C’est exactement ce que je me disais, bonjour les dégâts des pluies salées

    Mais bon le projet est qu’il n’y ait plus d’agriculture sur le sol européen, c’est pas rentable donc ça ne sert à rien parait-il.

    Non, moi je pense qu’ils savent au contraire très bien ce qu’ils font, et certaines opérations peuvent êtres mutuellement bénéfiques pour les groupes qui se disputent la couronne de l’ombre. Ne faire que des erreurs à un QCM c’est connaitre par coeur toutes les bonnes réponses.

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  5. Bon, comme pour le Covid. Des injections OGM, bricolées en labo, et vendues de force pour faire croire que cela soigne. Voir le résultat. La géo ingénierie sera juste un poil plus affectante vu que les pluies seront chargées en substances désagréables (comme pour le fracking) et tomberont au petit bonheur la chance. Et probablement venant de loin et pas repérable. Fait chier, je vais devoir trouver de quoi protéger par au-dessus mon territoire de survie…

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  6. j’avais lu un article ds science et vie pour le projet d’installer des miroirs entre soleil et terre au point de lagrange. in tellectuellement interessant mais si ça ne marche pas (ou trop bien) on les enleve comment ?

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  7. Les sels, c’est vaste comme ensemble de composés chimiques alors va savoir ce qu’ils vont balancer dans l’atmosphère.

    En tout cas, on n’arrête pas le progrès ! Moi qui en était resté à la dissémination dans les nuages par de l’iodure d’argent pour faire pleuvoir avec un succès mitigé…

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    1. Ah, je n’ai pas fait gaffe, c’est bien du sel marin. Quitte à balancer quelque chose dans l’air autant que ça soit pas cher et facile à produire tant qu’à faire…

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  8. Selon le magasine epsilon de juillet 2021:https://www.uniqueheritage.fr/fr/epsiloon-le-nouveau-magazine-dactualite-scientifique-en-kiosque-le-23-juin-2021/

    les américains ont utilisé la guerre météorologique au Vietnam en 1967 https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Popeye

    Les applications de géo ingénierie seraient pour nettoyer l’air, pour alimenter les barrages, refroidir l’atmosphère, protéger les cultures, éteindre les incendies, favoriser le tourismes(neige station ski)

    En france nous avons l’Association nationale d’études et de lutte contre les fléaux atmosphériques (ANELFA) https://www.anelfa.asso.fr/-Reseaux-.html

    On démontre l’efficacité en France via les indemnité des assurances https://www.anelfa.asso.fr/Efficacite-55.html

    Pour garantir le beau temps sur Pékin lors des JO de 2008 le gouvernement a fait tirer 1100 fusées d’ensemencement pour crever les nuages.

    Selon Andrea Flossmann ==> https://theses.fr/139514716

    « la variabilité naturelle est énorme, il n’y a jamais 2 nuages identiques. Une fois ensemencé vous ne pouvez pas savoir comment il se serait comporté naturellement. »

    Selon Sarah tessendorf https://www.globe.gov/web/saraht

    « Avec les supercalculateurs et les derniers modèles physiques il est possible de modéliser les effets de l’iodure d’argent »

    Les différentes techniques sont rapidement évoquées; bactéries,lasers, le son(50Hz 160dB), drones pour charger les nuages.

    Le magasine note que c’est l’ordre de grandeur qui va changer. La chine va installer sur les plateaux du Tibet des milliers de fourneau à iodure d’argent. La chine prévoit de modifier sa météo sur 5.5 millions de Km².

    Sur la toxicité premier point de vu (ceux qui utilise l’iodure d’argent) : pas toxique

    https://www.anelfa.asso.fr/IMG/pdf/WMA-EffetAgI.pdf

    Puis

    Sur la toxicité en dehors des mots « iodure d’argents » mais nanoparticules d’argent et là c’est le drame. « l’effet des nanoparticules d’argent sur l’environnement « est avéré par de nombreuses études »,

    https://veillenanos.fr/dossier/risques-specifiques/risques-nanoargent/

    Ha ben c’est balo, le lien juste avant me dit que c’est sans danger avec plein de preuves scientifiques.

    iodure d’argent = pas toxique
    nanoparticule d’argent= toxique

    https://www.santemagazine.fr/sante/sante-environnementale/perturbateurs-endocriniens/nanoparticules-quels-risques-pour-notre-sante-172152

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    1. « Le magasine note que c’est l’ordre de grandeur qui va changer. La chine va installer sur les plateaux du Tibet des milliers de fourneau à iodure d’argent. La chine prévoit de modifier sa météo sur 5.5 millions de Km². »

      Soit la moitié du pays et une surface de 10 fois la France pour avoir une notion relative. Tarés.

      Les chinois avaient réussi à éradiquer les des espèces entières d’oiseaux pendant la période du grand bond en avant. Avec pour résultat d’avoir perturbé totalement l’écosystème du pays et crée une prolifération de vermine qui n’était plus mangé par les oiseaux. C’est d’ailleurs une des causes de la famine qui en a suivi.

      L’homme fait des choses mais ne sais pas ce que fait ce qu’il fait. Et on voit bien que les saloperies ce n’est pas propre à l’homme occidental.

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      1. Nombre de thématiques SF ont pour point commun l’humanité qui prend une décision on ne peut plus consciente de modifier soit l’extérieur, soit le corps humain, et se retrouve avec un pb qui décime tout le monde.

        Dans le monde réel, ce n’est pas l’un ou l’autre, mais les deux en même temps.

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  9. Des scientifiques ? Avec un logos de connards ? Putain, même mes petits enfants n’oseraient pas dire de telles conneries !

    On est vraiment dans un train de dingos lancé à toute berzingue !

    Avec un soleil qui semblerait partir en sucette, on va s’amuser avec leur « réchauffement climatix » .

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