010 – Conclusion définitive sur le covid, la science et ce qu’amorce le système monde du XXI° Siècle

Quand je regarde un extrait vidéo sur YouTube de Raoult qui met en exergue le mensonge et l’application léchée du gouvernement à présenter les choses sur la vaccination comme si tout avait été parfaitement géré alors que c’est le pire produit médical de l’histoire de la médecine, et que je lis homo deus et qu’ensuite je me mets à écrire, tous ces boutiquiers là, comme disait Napoléon des Anglais au XIX, je ne peux pas m’empêcher d’être fier sur mon ouvrage sur le cyber négro féodalisme, même s’il est incomplet.

Et je suis encore plus fier de moi maintenant que je peux expliquer le rôle des manipulations de la croyance dans la coopération aboutissant à la civilisation et au fait que l’intersubjectivisme est une prison mentale globale dont il est impossible de réchapper. Pouvoir mettre des mots sur la notion du prix à payer, que personne n’est prêt à payer d’ailleurs, n’a pas non plus de prix pour moi. Tiens c’est drôle ça.

La cerise sur le gâteau, quand on regarde comment le capital se comporte depuis le XII° siècle, la vision futuriste, deiste par l’intelligence, selon Harari, alors qu’elle n’est que par appât du gain même à ce jour pour les NBIC, qui supplanterait la biologie et l’évolution lente et naturelle, on voit que non seulement sapiens a par fulgurance supplanté la vitesse évolutive à laquelle il appartient tel un avion qui s’extirpe de l’attraction terrestre par une force de propulsion, mais en plus il pense voler éternellement alors qu’il ne va faire que se cracher lamentablement dans la montagne de la réalité de la nature et du vivant.

Le rétro pédalage civilisationnel que va amorcer le génie génétique est à des années-lumière de toute considération sociologique de la masse, ces fils de putes à cols blancs de politiciens de merde qui ont tous leur tête dans le cul des financiers, ces larbins, ces sbires qui pensent tout savoir en manipulant le langage, quand la discipline existe depuis 70 000 ans.

Le crash civilisationnel total arrive, il ne reste que 20, 50, 100 ans maximum. La décente en cours est une agonie douce noyée dans le sang.

Il est temps que sapiens termine son œuvre et son tour du monde entamé il y a 70 millénaires et finisse logiquement par s’exterminer lui-même une fois que tout le reste l’a été.

Je ne supporte plus cette condition humaine. Génocider tous les participants à quelconque système d’ordre financier et politique ne servirait à rien tant ce dont nous avons besoin est à l’opposé total de ce que nous sommes en train de faire avec des sociétés comme Calico.

On s’étonne que les gens adorent le concept apocalyptique, même pour les non-croyants: c’est la fin du monde, mais on survit quand même… et on vit autrement. De la modernité à l’antiquité, c’est exactement la même chose que St jean qui écrit, ou fait écrire son évangile en 90 après JC, où logiquement dans la chronologie et dans la continuité des combats, conquêtes, massacres, la révolte de Judée des années 60-64 il me semble, menant à la destruction du temple de Jérusalem en 70. Les corps jonchant le sol, les membres éparpillés, les mares de sang, l’odeur pestilentielle, les incendies, l’odeur de putréfaction et de corps calcinés, la détresse des individus encore vivants, la famine, les rescapés… voyant tant de dévastation, il n’y aurait qu’une seule solution venant à l’esprit des observateurs totalement impuissants face à la réalité qui se déroule sous leurs yeux : l’intervention divine, le RESET, la reconstruction, le redémarrage. Il faut une nouvelle Jérusalem. Désolé les mecs, elle existe, c’est new amsterdam en 1614, et cela a été bâti sur les mêmes carnages qui ont détruit l’ancienne…

Ainsi on rejette aujourd’hui le monde dans sa forme actuelle PARCE QU’ON NE CONTRÔLE RIEN – on n’a jamais rien contrôlé, ( sauf vers le X-XI° siècle où on a failli avoir un monde meilleur avant que la réponse du système invente le capitalisme. )

C’est la caste dirigeante aristocratique qui a tout impulsé, depuis toujours, l’ordre monétaire, l’ordre religieux, l’ordre marchand, l’ordre politique, et tous les choix de l’histoire ont débouché dans un continuum qui ne pouvait que donner aujourd’hui, dans son incertitude et la nécessité d’impulser de temps en temps un coup de matraque pour continuer à faire avancer le bœuf qu’est l’homme crédule, l’esclave, le citoyen, l’employé, la variable, le numéro de dossier… l’identifiant.

Les intérêts de la cité passent avant les intérêts et le bonheur individuel des citoyens qui la composent.

Platon, la république

Il y a un intérêt supérieur et vous allez vous sacrifier pour obtenir cet idéal, de gré ou de force, bande de petits salopards. Et des fois c’est totalement le message inverse qui est écrit, amusant de la part du père du panoptique:

Le bien suprême est le plus grand bonheur du plus grand nombre et accroitre le bonheur général est l’unique objectif digne de l’état, du marché et de la science.

Jeremy Bentham ( si si je vous jure que c’est vrai )

La force de la monnaie par rapport à la religion, c’est que la religion, c’est quelqu’un qui croit en quelque chose, alors que chacun ne croit pas en la même chose. Ce problème nuit à la coopération. La monnaie remplit ce rôle puisque cela consiste à croire que quelqu’un croit en quelque chose. C’est le maximum matériel de la tolérance d’esprit. Jusque dans la corruption. La monnaie est interculturelle, c’est la première matérialisation concrète du système de coopération qui prend naissance après le langage. La monnaie scelle dans le physique tout ce qui est oral dans l’ordre imaginaire, allant du domaine idéologique, social, appuyé par le religieux.

Tout principe prétendu d’œuvrer pour le bien-être de l’humanité est qu’en réalité le processus détruit l’identité, l’inclusif et l’universel sont destructeurs. Je l’ai écrit autrement dans la fenêtre des perspectives : le multiculturalisme n’enrichit pas, il ne cumule pas, il remplace.

Ne vous étonnez pas qu’on veuille fusionner les identités biologiques et numériques. Vous devenez administrables et gérables bien plus facilement, c’est un gain réel d’efficacité, au prix d’une sur complexification abominable, certes, et l’avantage c’est que si vous faites chier on peut appuyer sur le kill switch. C’est un effet d’aubaine, le kill Switch n’est pas l’ordre premier, c’est un bonus opérationnel dans la numérisation et ce qu’elle permet. Peu l’acceptent mentalement.

C’est la même chose que la sédentarisation due à la révolution agricole d’il y a 12 000 ans, on augmente le rendement par personne, on vit plus longtemps, on a moins faim, mais on mange plus mal, l’amidon donne des caries, le dos est explosé, c’est l’amorce de l’organisation du travail à grande échelle, ça débouche sur l’esclavage. L’esclavage n’a jamais été prévu par l’agriculture, c’est un effet d’aubaine, également.

La standardisation culturelle ne fait que faciliter le contrôle des peuples constitutifs à l’empire, la conversion est un processus de linéarisation des codes, des lois, des mœurs, de manière à ce qu’un Américain soit chez lui à Singapour et qu’un Français soit chez lui au Japon. Les ricains font chier avec leur système impérial ? Passons au métrique. Tous à la même unité de mesure. Process identique sur les monnaies… Les Anglais finiront par rouler à droite, question de temps. Sauf si on revient au cheval et au glaive, puisque pour la petite histoire dans les rues étroites on circulait à gauche parce que majoritairement droitiers et portant le glaive sur la hanche gauche, en étant à droite de la route les lames s’entrechoquaient. ( si l’image n’est pas claire, imaginez vous ouvrir la fenêtre conducteur en centre-ville et tendre un manche à balai à bout de bras, vous comprendrez mieux ).

L’homogénéisation est un process qui détruit l’identité et l’endémique.

La construction d’un modèle coopératif basé sur l’imaginaire induisant une continuité de mensonge civilisationnel n’a que deux possibilités et une seule finalité :

  • Maintenir et s’enfoncer dans le mensonge.
  • S’éveiller et sortir du modèle pour bâtir sur du réel.

Dans le premier cas, cela mène au désastre. Dans le deuxième cas, ceux qui contrôlent la narrative ne se laisseront jamais faire et cela mènera également par l’affrontement au désastre.

Vouloir maintenir une continuité de ce qui ne peut plus être maintenu, forcer à rester dans un mode de fonctionnement qui est dépassé dans le principe organisationnel, dépassé par la vélocité de système, dépassé par la technique, dépassé par l’opposition et la prise de conscience des problèmes de fonds, qui ne fonctionne plus dans des échelles et proportions telles que les nôtres, induit obligatoirement un schisme idéologique nouveau, ceux qui cautionnent le système dans ce qu’il est parce qu’ils en profitent, ils sont de moins en moins nombreux, et ceux qui ne le supportent plus et veulent en finir, qui sont de plus en plus nombreux.

Ça ne pourra jamais rester en l’état. Ne vous mentez pas là-dessus. Ça va saigner grave.

Le COVID n’a eu pour but que de marquer le début d’un processus qui ne va certainement pas s’arrêter là et la solution ne peut pas être politique puisqu’ils n’ont jamais rien contrôlé en vérité. Le merdier de 2020, le manque d’organisation total souligne parfaitement que la cupidité a orchestré quelque chose, comme zemmour citant Napoléon à propos de son programme politique, « on décide et l’intendance suivra« . La volonté du boomer de revenir à une situation d’empire pour le contrôle est significative sur la maladie de l’humanité dans nos sociétés. Sauf que l’intendance à une latence et cette latence elle part du politicien jusqu’au dernier des SDF. Il faut une inertie pour ajuster ce que monsieur le financier décide. Et les temps longs biologiques sont totalement en ondulations de perpétuels contre temps avec les moments déterminés pour impulser des choix politiques et sociaux pour régler un pb. il y a un pb d’échelle de correspondance dans les amplitudes, c’est totalement inconciliable. C’est pour ça qu’on entend souvent « les élites hors sol déconnectés du monde réel« .

La butée de système est également une butée de vélocité, d’hypervitesse, d’hypervelocité sociale, ça tombe bien j’ai écrit un truc dessus… incomplet, également avec une erreur due à mon ignorance, mais que je rectifie ici.

L’intersubjectivisme de la croyance dans les partis politiques maintient fermement les esprits dans des cages et rend les mouvements impossibles à cause de la partisanerie, et l’union est immédiatement réprimandée par la matraque. Il n’y a pas d’issue à ce système, il est condamné.

Et pour ceux qui pensent comme moi que voter ne sert à rien et ne se déplacent pas et qui seraient critiqués par les autres qui eux ont toujours une conception politique du monde : ne pas voter laisse le boulevard à ceux qui fomentent les élections pour obtenir la place, mais ceux qui se déplacent pour voter Macron plutôt que Le Pen parce qu’il est jeune et qu’il présente bien, que c’est un gendre idéal ou qu’entre la peste et le choléra c’est néanmoins un choix, ça n’aide en rien, dans tous les cas c’est la banque qui gagne.

Il aurait au moins fallu foutre la merde et élire un anti européen tel qu’asselineau par curiosité pour voir ce qu’il se passe, mais pour cela il faudrait que l’intersubjectivisme de la camisole de l’union européenne cesse de marteler son message : le frexit c’est l’appauvrissement, sortir de l’otan c’est dangereux, un retour au franc français c’est contre le marché libre, ce serait un mouvement politique archaïque et contre-courant !

Tu penses

Tout ce qui est voulu va se présenter en biais, forcer le passage en travers, rien ne sera fait correctement, tout va se dédoubler dans les structures et systèmes hiérarchiques tel que l’État français et son système administratif le fait depuis 200 ans, et dans le poids total de la différence de niveau réel entre les classes de ce qu’aura permis le technique engendrera une séparation extrêmement violente, les riches mondialistes en centre-ville connectés et immortels et défendus par une armée privée et ceux qui encercleront les villes, dans les donuts, les hordes bougnoulisées, le melting pot issu de la mondialisation qui je pense, paradoxalement, va faire cause commune pour résister et exister mais ce sera avant tout l’œuvre du métissage et de la dégénérescence cognitive au point du seuil commun tel que je l’écris dans  » la prise noir en bas du mur «  plutôt qu’autre chose.

Il y a une once d’assaisonnement de Jean Raspail, j’en conviens. C’est involontaire. On ne peut pas non plus tous dire que des conneries tout le temps hein ! À quelques moments on est bien obligés de dire trucs sensés et vrais. Ici c’est une exception mais chut, il ne faut pas le dire.

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